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Ce qui ne te tue pas te rend plus… FOU !
Le Joker
Le Joker
¤ The Crazy Clown ~ Coding Master ¤
Messages : 3
Date d'inscription : 03/10/2021
Localisation : Gotham City

Mer 3 Nov - 11:25
Je me réveille dans une ruelle sombre de Gotham, sans repère. C’est quand même étonnant, je me souviens de cette chute, provoquée par la chauve-souris, et, je croyais que c’était fini pour moi. A croire que même le Diable ne veut pas de moi ! je me moque bien des raisons qui m’ont permis d’avoir cette nouvelle chance, mais je compte bien ne pas la laisser filer.

Je sors dans la rue principale qui me rappelle quelque chose. Mais qui semble avoir beaucoup changée en mon absence. Combien de temps suis-je resté dans les vapes ? Oh, ce n’est pas important, rien n’est important, à part s’amuser. D’ailleurs, je me souviens d’une de mes planques d’armes dans une allée un peu plus loin.

Je m’y rends avec célérité, et je constate avec bonheur que la plaque métallique fixée au mur n’a pas bougé. Je dévisse les attaches à l’aide de mon petit couteau, et je récupère une partie de ce qu’il y a derrière.

Je reviens dans l’artère principale, et je rentre dans un magasin de vêtements, en quête d’une tenue qui me conviendrait bien. Et, finalement, après avoir trouvé ce que je cherche, je me dirige vers la sortie.
Un vigile avec des airs de malabars se dresse devant moi.

V : Et bien, monsieur, on souhaite partir sans régler ses achats ?

J : Que voilà un visage triste, je n’aime pas les gens tristes, ils me rappellent celui qui m’a tué deux fois !

Je dégaine un révolver, le braque sur l’homme et appuie sur la détente. Un petit drapeau sort du canon, ce qui me fait rire. En remarquant l’air sur le visage de l’homme, qui, subitement, se met à rire devant une telle audace. Ou plutôt, sous l’effet de la mini seringue envoyée en même temps que le drapeau par mon canon. Il est parti pour des heures de fou rire incontrôlables.
Puis, les sirènes de police se font entendre, certainement qu’un vendeur ou caissier a appelé les forces de l’ordre, aussi, je me dépêche de quitter les lieux. Je me demande si c’est toujours ce cher Gordon qui s’occupe de tout ça. Je verrai bien, mais ce n’est pas encore le moment, j’ai quelques personnes à voir et à occire avant.

Je me mets à danser dans la rue !

J : OCCIRE, j’adore ce mot, OCCIRE !

Et, je me dirige vers les quais, vers les entrepôts, où je me doute que je trouverai les personnes que je cherche. Et, au passage, j’en profite pour récupérer un journal sur un étal. Le vendeur se précipite à ma poursuite en criant. Je finis par me retourner

J : En voilà, un raffut ! Pourquoi les gens sont-ils aussi tristes et énervés, de nos jours ? As-tu déjà dansé avec le Diable, au clair de lune ?

L’homme prend un air surpris, et j’en profite pour lui mettre une balle en plein cœur. Puis, je me rapproche, et, à l’aide d’un petit feutre, je lui dessine un large sourire sur le visage. Il faut bien que j’informe que le Joker est de retour ! Même si je me doute qu’ils vont tenter de mettre ça sur le dos d’un copycat, ils devraient savoir que personne n’imite le Joker !

Je continue ma route, toujours dans la même direction, et je vois ce qui, je n’en doute pas, sert de quartier général à un petit gang local. Je pousse la porte et j’entre dans les lieux. Immédiatement, je me dirige vers celui qui me parait être le chef du gang.

C : Putain, t’es qui, toi ?

J : Autrefois, j’étais Jack Napier, mais Jack est mort, et c’est bien triste. Moi, je n’aime pas les choses tristes, je suis Joe le rigolo, mais, appelez-moi, Joker ! Et je suis venu pour récupérer MA VILLE ! Et je vais commencer par ce gang !

L’homme se lève brutalement, l’arme à la main, et me fixe dans les yeux.

C : Tu voudrais me prendre mon gang, et tout seul ?

J : Enfin, pourquoi prendre ce visage triste ? Respire plutôt la fleur que j’ai en boutonnière ! Tu vas en être MORT DE RIRE !

J’en profite pour lui lancer, depuis ladite fleur, un jet de liquide Joker en pleine face, et l’homme s’effondre sur le bureau envahi par un rire incontrôlable. Et, durant une dizaine de minutes, il rit sans pouvoir s’arrêter, jusqu’au moment où il s’effondre dans un soubresaut, et se retrouve immobile.

J : Et voilà, bravo, ça c’est ce qu’il s’appelle partir heureux ! Alors, nous allons reconquérir la cité, qui m’accompagne dans la joie et la bonne humeur ?

J’éclate de rire, en quittant les lieux, suivi par les gangsters qui semblent curieux de voir où est ce que mon ambition va les emmener. Et nous marchons sur les quais, j'en profite pour me rencarder sur l'équilibre des forces en présence au niveau de la pègre du quartier.

Ils se prosterneront tous devant moi!

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